Parfois, une couverture de roman n’a rien à voir avec le sujet du livre. On se demande alors qui a eu l’idée de trouver cette couv’, souvent moche, inutile : le stagiaire ? L’éditeur ? Un pote aveugle ? Bref, c’est ce que je me suis demandée après avoir lu La grâce des brigands , de Véronique Ovaldé , aux éditions l’Olivier . Bien heureusement le roman était vraiment top, bien que je ne comprenne pas cette couv’ d’une totale laideur. Donc j’ai lu La grâce des brigands la semaine dernière. Pour tout vous dire, comme ma boss m’a clairement fait comprendre que mon penchant pour les romans étrangers ne devait pas passer avant le fait que la rentrée littéraire française soit avant tout une rentrée de romans français, je me suis penchée, un peu forcée je l’admets, sur les nouveaux romans français. Je me suis tournée vers des valeurs sûres, me basant sur de précédents échos de collègues aguerris possédants de bons goûts, Céline Minard , Sorj Chalandon , Véronique Ova...