Si je remarque bien quelque chose, c’est que la littérature américaine à tendance à m’attirer, et j’ai beau tenter de m’en éloigner pour lire autre chose, j’y reviens toujours. Une cliente m’a fait cette remarque en me disant « qu’y en avait marre de cette dictature des romanciers américains, à croire qu’il n’y a qu’eux qui écrivent, alors que c’est complètement faux. » le visage tout rouge, pas contente, j’ai bien cru qu’elle allait se transformer en schtroumpf noir. Mais que voulez-vous madame, oui il y a de bons auteurs partout, en France nous ne sommes pas en reste, mais les anglophones - pour élargir le terme - ont tendance à manier la plume d’une manière particulière, et on ne peut nier qu’ils ont le chic pour pondre d’excellents romans. Mais surtout ils écrivent beaucoup, vu qu’ils sont très très nombreux, et que donc par définition il y a beaucoup de bonnes choses à lire, et moi, je ne vais pas m’en priver par chauvinisme ou orgueil mal placé ! Ca ne m’empêche p...